Chaque produit ou service génère des impacts sur l’environnement. Le but de l’éco-conception est de réduire ces impacts tout en conservant la qualité d’usage par la prise en compte des consommations des ressources naturelles et des impacts sur l’environnement.
Cette démarche apparue dans les années 2000 intéresse l’ensemble des acteurs économiques : fournisseurs de matières premières, fabricants, distributeurs, consommateurs, acheteurs publics et privés. L’environnement devient ainsi un critère d’achat à part entière, à l’instar de la qualité, des coûts, des délais, etc.
Historiquement, le PLM (Product Lifecycle Management) s’adresse aux bureaux d’études industriels. Aujourd’hui, son rôle a largement évolué vers une interface entre les différents métiers et leurs solutions. ENORA propose un tour d’horizon de ce projet multi-acteurs.
Considéré comme une approche stratégique de management des informations relatives au produit, depuis sa définition jusqu’aux phases de maintenance en passant par la fabrication, le PLM (Product Lifecycle Management) représente avant tout une discipline industrielle. Il tire ses origines des secteurs aéronautiques et de défense, s’étend largement à l’automobile, l’électronique, la pharmacie, l’agro-alimentaire et touche aujourd’hui quelques rares secteurs tertiaires tels que la banque-assurance.
Alors que les médias nous parlent de crise immobilière et financière, Bercy nous explique que le pouvoir d’achat a baissé et les industriels de la grande consommation prennent le relai pour essayer d’attirer les ménages dans leurs méga-enseignes, nous pouvons nous demander ce qu’il en est des relations inter-entreprisesconcernant les achats de « prestations intellectuelles à forte valeur ajoutée », autrement appelées « de conseil ».
Le bug annoncé de l’an 2000 avait poussé les directions financières à se plonger dans leur système informatique. Huit ans après, la culture de la qualité s’est installée durablement dans les schémas directeurs des entreprises. Qualité des produits, qualité des services, l’informatique est devenue une activité support qu’on inspecte à la loupe de référentiels toujours plus nombreux.
A l’heure où de nombreuses entreprises se heurtent à des problématiques liées au turnover et à la motivations de leurs forces commerciales ainsi que des différents acteurs de leur Relation Client (employés de centre d’appels, téléprospecteur, administration des ventes…), la formation est un des moyens les plus efficaces d’intervenir sur la fidélisation et la montée en compétence des collaborateurs.
Les normes permettent de faire certifier des organisations, des personnes ou des produits. Les normes ISO de management s’intéressent uniquement à la certification des organisations, elles peuvent s’appliquer à tout type d’organisations (PME-PMI, multinationales, service public, etc.) et de tous secteurs (industrie, service, etc.).